les Adorateurs de Belgrim et de Caelen
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 souvenir d'un damné

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n_rike1
Barman
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MessageSujet: souvenir d'un damné   souvenir d'un damné EmptyMer 10 Nov - 22:05

Je suis Lachdanan, je faisais partis de la garde personnel du roi Léoric. Depuis peu nous étions en faction à Tristram, suite à de nombreuses plaintes des habitants faisant état de phénomènes surnaturels et inquiétants. Même s'il n'y croyait pas, notre roi à décidé de venir sur place avec ses cent meilleurs hommes dont je faisais parti. C'était à ce moment un honneur pour moi. Si j'avais su ce qui nous attendait, j'aurais préféré être le cent unième meilleur de ses hommes.
Lorsque nous sommes arrivé sur place, notre objectif était simple, rester sur place quelques jours pour rassurer la population et mené une enquête dans les alentours pour voir si nous ne trouvions pas la pistes de brigands abusant de la crédulité des gens de ce village. Mais tous les villageois semblaient croire dur comme fer que des puissances occultes étaient à l'oeuvre.
Odgen, le tavernier affirmait que des créatures démoniaques lui avaient volé son enseigne.
Adria, une sorcière, était persuadé de ressentir une magie maléfique dans les environs.
Cain était sans doute celui qui paraissait le plus fou, d'après lui diablo, l'un des trois démons originels, serait responsable de toutes ces rumeurs. Evidemment, si nous avions su la vérité à ce moment là, nous ne nous serions pas moqué d'eux lorsque nous nous retrouvions seuls, mais la seul personne à avoir l'air censé était l'archevêque Lazarus, il disait, comme nous que les habitants étaient trop crédules.
Au bout d'une semaine, nous n'avions toujours pas trouvé la moindre piste, ni vu quoi que ce soit d'anormal, Léoric décida donc que nous léverions le camps à l'aube.
Hélàs, le lendemain matin, le fils de notre roi avait disparu, Léoric avait pour habitude de l'emmener avec lui car tôt ou tard il devait lui succéder. Léoric promis de retrouver les responsables et de leur faire payer de leur vie cet enlevement. Nous nous sommes donc tous préparer en vitesse et rapidement nous étions tous en armure réuni sur la place village. Il ne nous fallut pas longtemps pour voir des traces étranges mener jusqu'à l'église dont les portes étaient encore grandes ouvertes. Une fois à l'intérieur nous avons investis les lieux, fouillant les moindres recoins jusqu'à ce que l'un de nous decouvre une trappe dissimulé sous laquelle se trouvait une escalier conduisant conduisant à un endroit que nous ignorions encore être l'enfer.

Etage un

Une fois en bas de l'escalier, nous nous retrouvions plongé dans une semi obscurité la lumière du jour ne venant plus éclairer nos pas, la seule lumière encore présente était celle des quelques torches accrochées aux murs. Celles-ci étaient déjà allumé, comme si nous étions attendu.Malgrès l'impatience de notre souverain pour retrouver son fils, ne sachant pas ce qui nous attendait et ne voyant pas assez loin pour anticiper les mauvais coups, nous avançions lentement en rang serré. Aucun de nous n'étaient un débutant si nous étions là, c'est parce que nous avions fait nos preuves au combat. Nous avançions lentement, certe, mais sur de nous, nous étions tous certains de retrouver le fils de Léoric, de châtier les coupables et de ressortir indemne, nous ne pouvions pas savoir ce qui nous attendait. Au bout de quelques mêtres, nous allions en avoir un léger aperçus, un grognement se fit entendre sur notre gauche, à cause de la pénombre, nous n'arrivions pas à distinguer la cause du grognement, jusqu'à ce qu'une silhouette finisse par se distinguer des ombres. C'était une forme humaine qui avançait vers nous. Notre roi dit alors d'une voix forte et claire à l'attention de cette forme de ne plus s'approcher si elle tenait à la vie. La silhouette répondit par un grognement et continuait de venir vers nous. Quand elle fut assez près, une de nos épée lui trancha la tête avec une facilité déconcertante, mais pas aussi déconcertante que l'absence de sang. En temps normal, une décapitation fait couler suffisement de sang pour pouvoir être vu, même ici. Mais pas le temps d'y penser plus longtemps, une seconde personne se trouvait à porté de lame, le même sort lui fut reservé. Nous n'avions pas le temps d'user de diplomatie, nous devions retrouver le fils de Léoric avant que malheur lui arrive. Nous avons donc continué d'avancé prudemment, nos yeux s'habituaient peu à peu à la faible luminosité de l'endroit, mais nous ne pouvions toujours pas voir très loin, mais juste assez pour distinguer le mur du fond et la porte en son centre. Une fois tous réunis devant cette porte, je fis un pas en avant, rengaina mon épée et après avoir plaçé mon bouclier devant moi, de ma main libre, j'ai saisis la poignée et ouvert la porte. A mon grand soulagement, il n'y avait personne dans mon champ de vision, certe limité, mais dans la seconde suivante, une sorte de cliquetis se fit entendre. Alors que je rejoignais le groupe, on pouvait entendre le bruit se rapprocher jusqu'à distinguer de nouvelles silhouettes, cette fois ci, leurs intentions étaient claires, ils avançaient vers nous, bouclier en protections devant eux et épée brandit prêt à frapper. Nous étions prêt nous aussi, cent hommes surentrainés, face à quatre, non cinq individus, nous n'avions rien à craindre. Ce n'est que lorsque qu'ils furent assez pret que l'on pu voir à quel genre d'adversaire nous avions affaires, ce n'étaient pas des humains, tout du moins ils ne l'étaient plus depuis longtemps, ce n'étaient plus que des squelettes mais encore capable de se mouvoir. Nous commençions tout juste à comprendre que les rumeurs des villageois étaient fondées. Heureusement, malgrès cette mauvaise surprise, nous gardions l'avantage du nombre et nous étions habitué à combattre ensemble, tandis que mon voisin parait, à l'aide de son bouclier, l'attaque d'un de ces mort-vivants, j'abattais mon épée sur le crâne de ce dernier. Trois autres squelettes trépassèrent, de façon similaire, quand au dernier, il eu l'honneur d'être vaincu par Léoric lui-même, qui n'était pas du genre à rester confortablement à l'abri. Alors que nous allions reprendre notre marche, un cri se fit entendre à notre droite, un de nous était à terre, il avait une créature ressemblant vaguement à un gros chat en train de lui mordre le mollet suffisament fort pour que cette fois ci on puisse voir du sang. Notre compagnon tomba sur le dos, tandis que son voisin de droite abbatit son épée en direction de la créature, mais celle ci était agile et évita la lame de justesse en faisant un bond en arrière et disparu silencieusement dans la pénombre environnante. Nous scrutions tout autour de nous, mais il nous était impossible de savoir si elle était encore dans les environs où si elle ne s'était reculé que de quelques mêtres. L'atmosphère devint de plus en plus angoissante, les cris de douleur de notre camarade n'arrangeaient rien, dans nos uniformes, il était impossible de nous reconnaitre, sous chaque heaume pouvait se trouvait un ami proche ce qui nous donnait la détermination nécéssaire de protéger tous le monde, ce qui nous réussissait plutôt bien jusque là. Malgrès toutes les batailles auquelles nous avions déjà participé nos pertes restaient toujours proche de zéro et nous avions l'intention que cela dure, encore une preuve de notre ignorance. Instinctivement, nous allions former un cercle autour du bléssé. Trop tard, la forme du petit quadrupède si fit de nouveau voir, trop proche de nous pour que nous puissions réagir à temps, et avec une vélocité incroyable sauta a la gorge du bléssé, mais périt cette fois ci transpercé de part en part, Léoric était un vrai chef de guerre, il avait réagit avec la vitesse d'un éclair et avait fait sa deuxième victimes. La pièce était de nouveau parfaitement silencieuse, effectivement les râles du bléssé s'étaient tus lorsque la créature lui avait arraché la trachée entre ses machoires. Nous venions de subir notre première perte, alors que nous venions juste de commencer notre périple, mais hors de question de reculer pour autant, nous étions encore plus déterminé à aller jusqu'au bout. Si, comme nous le pensions, il y avait bien quelqu'un qui tirait les ficelles nous allions le faire payer au prix fort, du moins nous le pensions. Après avoir débarassé plusieurs pièces des zombies et squelettes qui trainaient dans les parages, nous nous retrouvions devant un escalier qui descendait.
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